Bienvenue au blogue de Miss Dolittle !

dimanche 1 avril 2012

Pourquoi un blogue ?

Bien oui, j’ouvre ce blogue aujourd’hui parce que j’ai le goût de partager avec vous. J’ai le goût de partager encore plus et de surtout de vous lire. Parce qu’il y a tant à dire sur les animaux. Il y a tant à raconter, à traiter, à découvrir, à partager, à comprendre sur les animaux que j’ai décidé d’ouvrir ce blogue. Il s’additionnera à mon site internet www.missdolittle.com, à mon Facebook, à mon Twitter et à tout le reste, parce qu’il y a toujours plus à partager, encore et encore sur les animaux. Parce que j’ai passé trop de temps à enfouir ma passion pour les animaux, à demeurer discrète, à me retenir…. Ça vous dit quelque chose ça? Décider de taire votre passion, choisir le silence pour ne pas ‘’déranger ‘’ceux qui les aiment moins. Se sentir jugée, se sentir incomprise, se sentir à part. Voir le regard parfois méprisant des gens, entendre les gens nous dirent : ‘’C’est juste un animal’’… ou encore…’’reviens-en’’… et choisir alors le silence.
Ici, nous, nous aurons notre espace pour partager, sans retenue, toutes ces folies qui nous habitent en regard des animaux.
Et tant qu’à y être, je vous fais une confidence. J’ai commencé à écrire un livre. J’espère que toutes nos discussions l’alimenteront et qui sait, vous aurez peut-être votre histoire, vos propos dans celui-ci. Alors commençons donc….

Cette folie des animaux!

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu des animaux à mes côtés. Lorsque j’avais 6 ou 7 ans, c’était la petite Mickey, la petite chienne mal tachée de ma mère, qui du haut de ses 4 pouces et de son gros 10 livres venait me reconduire à mon lit à tous les soirs. Elle me regardait avec ses yeux sortis un peu de la tête. Elle avait l’air de tout comprendre, de tout deviner et était toujours là au bon moment. Bien sûr, j’ai eu aussi des chats, toutes les couleurs de chats et bien de la peine à toutes les fois que je découvrais un de mes chats écrasés dans notre rang de campagne. J’avais aussi bien en tête ce poussin dans ma chambre dénommé Beddy. Je lui avais fait une ‘’maison’’ et c’était mon compagnon de chambre. Puis, il y a eu les bébés souris que je trouvais un peu partout dans la maison et que je cachais pour ne pas que ma mère les donne aux chats (malheureusement, elle les trouvait toujours, sniff!). Il y a aussi eu ce bébé lapin abandonné par sa mère au beau milieu d’un grand enclos. Je revois encore la scène. Alors que je flânais encore dans l’étable, j’aperçu quelque chose d’étrange au milieu de l’enclos et par curiosité, je me suis approchée. Surprise! Ce n’était pas une souris mais un lapereau. Il était glacé, presque mort. J’ai accouru à la maison pour lui trouver une petite couverture. J’ai soufflé dessus jusqu’à ce que sa petite peau dénudée de poil se réchauffe. Et puis, le miracle est arrivé. Je l’ai sauvé. La nuit, le jour, je le nourrissais. Son si petit corps se faisait très bien entendre lorsqu’il avait faim. J’étais maman d’un bébé lapin. Wow! Je l’emmenais avec moi partout pour être certaine qu’il ne manque de rien. Et il a survécu. Que de souvenirs…
Les petits films défilent tranquillement au fil de ces lignes que ma mémoire veut bien faire apparaître. Ce qui est magique c’est que ce sentiment de bien-être, toujours se réinstalle et parfume chacun de mes souvenirs avec ces animaux incroyables qui ont croisé ma vie.
La question que je me pose? Pourquoi ? Pourquoi les animaux nous font tant de bien? Pourquoi sont-ils capable de nous extirper le plus beau sourire au moment où l’on a juste le goût de pleurer? Pourquoi notre regard s’illumine à leur vue? Pourquoi devient-on gaga en prononçant leur nom, en tapotant leurs fesses? Pourquoi est-ce qu’on oublie tout à leur contact? Il y a bien des réponses à ces questions mais il y a aussi des questions qui n’ont pas de réponses.
J’adore les animaux. Trop diront certains. Pas assez, diront plusieurs végétariens.
Et vous, pourquoi aimez-vous les animaux ? Quel est votre plus beau souvenir? Pourquoi occupent-ils cette place dans votre cœur? Pourquoi ces petites et grosses bibittes vous chavirent le cœur? Racontez-moi, racontez-nous.